mardi 21 octobre 2014

Premières dictées - Dictée N°27 : Récapitulation : è = ei, ey, ai, ay, oe

Récapitulation : 

è = ei, ey, ai, ay, oe












Le treize mai, je partirai avec Madeleine pour Epernay.


Je traverserai l'Aveyron.



J'aime la verveine.



Un corsaire a été amené à Jersey.



La Loire traverse la Touraine.



La petite Adèle a de la peine à obéir.



La conduite du militaire a été téméraire.




L'école primaire touche la mairie.




Je sèmerai de la laitue.




Le Louvre se trouve sur la rive droite de la Seine.




L'opéra d'Oedipe a remporté un grand succès.




Madeleine tricote de la laine blanche.




Je chanterai un air.





J'achèterai une chaîne en or.









Premières dictées - Dictée N°26 : è = ay / é = oe







è = ay



Nous visiterons la ville d'Epernay.



Ma tante habite à Epinay.



La semaine prochaine j'irai à Fontenay.
















é = oe



Oedipe devina une énigme.








dimanche 19 octobre 2014

Cours Moyen - Dictée N°47 : Le bûcheron qui a perdu sa hache (2ème partie)








Le bucheron qui a perdu sa hache (2)



Notre homme alla conter l'affaire à ses compagnons, sans leur dire toutefois, par modestie sans doute, ce qui, dans l'entrevue avec le dieu, avait été le plus à son honneur.

"Comment, se dirent ces gens, c'est pour avoir perdu son outil qu'il est devenu si riche ? Pourquoi ne perdrions-nous pas aussi le nôtre ?"

Et voilà nos bûcherons qui se mettent, comme ils l'avaient projeté, à perdre leurs haches, à perdre, vous m'entendez bien, et à implorer le dieu. Le dieu vint, en effet, présentant à chacun une hache d'or, comme il l'avait fait la première fois, et leur demandant, comme il l'avait demandé au premier bûcheron, si c'étaient bien là les leurs.

"Certainement, ce sont les nôtres, répondirent-ils.

- Ah ! ce sont les vôtres, dit le dieu, 

et brandissant une de ces haches d'or au-dessus de leur tête :

-Vous mériteriez, ajouta-t-il, que je vous fisse payer bien cher votre mensonge ; je consens toutefois à ne pas vous punir, mais ne comptez plus sur moi, et n'oubliez pas désormais que vos affaires ne sont pas les miennes."







Cours Moyen - Dictée N°46 : Le bûcheron qui a perdu sa hache (1ère partie)




Le bûcheron qui a perdu sa hache (1)





Les anciens content qu'un bûcheron perdit un jour sa hache, son gagne-pain. Triste et désolé, il pleurait et se lamentait, au pied d'un arbre, quand tout à coup un dieu se présente à lui. Vous savez que l'on croyait dans l'antiquité qu'il y avait plusieurs dieux ; chaque pays, chaque ville avaient les siens.

"Je ne puis voir, lui dit ce dieu, sans souffrir moi-même, couler les larmes des hommes, et je veux essuyer les tiennes. Dis-moi le sujet de ton affliction."

Et, quand le bûcheron eut parlé, le dieu disparut, puis revint, un instant après, tenant à la main une hache dont la masse était d'or et le manche d'ébène incrusté de pierres précieuses.

"Est-ce là, dit-il au bûcheron, la hache que tu as perdue ?

- Non, répondit le pauvre homme, la mienne était bien loin d'être aussi belle que celle-là."

Le dieu disparut encore, et revint avec une autre hache à masse d'argent.

"Voici la tienne, cette fois." dit-il.

Mais le bûcheron répondit encore que ce n'était pas la sienne. Pour la troisième fois, le dieu disparut, et rapporta une troisième hache, celle-ci, à manche de frêne, à masse de fer.

"Voilà ma hache, s'écria le bûcheron, c'est bien celle que j'ai tant pleurée !"

Mais le dieu lui dit :

"Tu n'as point cherché à me tromper ; tu ne t'es laissé éblouir ni par l'argent ni par l'or ; ton honnêteté aura sa récompense ; ces trois haches sont à toi ; je te les donne."






mercredi 1 octobre 2014

Cours moyen - Dictée à corriger N°6

Cette dictée contient 6 fautes d’orthographe grammaticale





Au tort de jugé trop souvent des gens sur leur mine, nous joignons celui d'agir de la même façon envers les animaux. Il en et un grand nombre que nous haïssons et que nous aborrons sans motifs, et se sont précisément la plupart de ceux qui nous rende les plus grand services.












Dictée corrigée


Au tort de juger trop souvent des gens sur leur mine, nous joignons celui d'agir de la même façon envers les animaux. Il en est un grand nombre que nous haïssons et que nous abhorrons sans motifs, et ce sont précisément la plupart de ceux qui nous rendent les plus grands services.